Édition 2010

No Scoop

Télérama culture couverture

Soixante ans d’un hebdomadaire, c’est plus de 3 000 couvertures, plus de 3 000 signes tangibles de l’apparition et de la disparition de phénomènes, de personnages, d’objets culturels... qui, pour certains, ayant eu leur heure de gloire, sont tombés dans un oubli profond et, pour d’autres, continuent à nous émouvoir.
Ces couvertures sont autant de regards éphémères dont le destin est peut-être, à terme, de tapisser le fond des poubelles, mais qui restent avec modestie les signes d’un travail d’équipe animé par le même amour de la culture et des artistes, le même farouche esprit d’indépendance, d’irrévérence, de liberté ; teinté d’amateurisme au vrai sens du mot, mais toujours empreint d’une réelle sincérité. Présentées comme des témoignages d’engagement, elles parcourent aussi soixante ans de la vie de la culture et de la société, selon des modes de représentation qui à eux seuls disent leurs époques : la photographie, bien sûr, mais aussi l’illustration, ou la typographie.
Autant d’invitations à voyager dans le temps avec tous ceux qui se sont succédé à la réalisation d’un journal qui, jadis glissé sous le missel à la sortie des églises, a réussi à s’installer durablement dans notre paysage. Et a toujours tenté, au fil des années, de trouver sa pro- pre écriture graphique.
Exposition présentée à la Grande Halle, Parcs des Ateliers.
Soixante ans d’un hebdomadaire, c’est plus de 3 000 couvertures, plus de 3 000 signes tangibles de l’apparition et de la disparition de phénomènes, de personnages, d’objets culturels... qui, pour certains, ayant eu leur heure de gloire, sont tombés dans un oubli profond et, pour d’autres, continuent à nous émouvoir. Ces couvertures sont autant de regards éphémères dont le destin est peut-être, à terme, de tapisser le fond des poubelles, mais qui restent avec modestie les signes d’un travail d’équipe animé par le même amour de la culture et des artistes, le même farouche esprit d’indépendance, d’irrévérence, de liberté ; teinté d’amateurisme au vrai sens du mot, mais toujours empreint d’une réelle sincérité. Présentées comme des témoignages d’engagement, elles parcourent aussi soixante ans de la vie de la culture et de la société, selon des modes de représentation qui à eux seuls disent leurs époques : la photographie, bien sûr, mais aussi l’illustration, ou la typographie. Autant d’invitations à voyager dans le temps avec tous ceux qui se sont succédé à la réalisation d’un journal qui, jadis glissé sous le missel à la sortie des églises, a réussi à s’installer durablement dans notre paysage. Et a toujours tenté, au fil des années, de trouver sa propre écriture graphique.

Exposition présentée à la Grande Halle, Parcs des Ateliers.

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