Édition 2010
Exposition présentée par le Méjan
Klavdij Sluban
Transsibériades
Ce sont les photographies réalisées lors de voyages transsibériens en Chine, en Mogolie, en Russie qui font l’objet de l’exposition présentée au magasin électrique et de l’ouvrage qui l’accompagne pour lequel Klavdij Sluban est lauréat du prix 2009 de l’European Publishers Award for Photography.
C’est en train qu’il s’est déplacé dans ce « Far Est » en quête d’êtres vivants, animaux en fuite ou humains emmitonnés dans une immensité oppressante et un silence infini extraordinairement perceptibles dans ses œuvres.
« C’est de cette zone de haine consommée que vient Klavdij Sluban, Leica en bandoulière, pellicule blanc et noir, pour raconter les Est à qui sait tout juste qu’il en existe un. (...) Le point de vue du photographe brouille les cartes : de là vient l’ombre. La neige aussi est sombre, la lumière un blanc délavé, en exil sur la surface. » (...)
« Le Photographe utilise rarement une vitesse d’exposition rapide. (...) Il laisse plus souvent un temps de pause plus long sur le diaphragme fermé, pour que le silence imprègne la pellicule. L’immobile a besoin de plus de temps pour affleurer. L’immobile est l’état de grâce du moment messianique, non pas l’exaltation d’un avant, mais une fin de course. »
Erri De Luca
Exposition proposée par l’association du Méjan et produite par la galerie Taïss et la galerie de l’Hôtel de Sauroy, à Paris.
Exposition présentée au Magasin Électrique, Parc des Ateliers.
Ce sont les photographies réalisées lors de voyages transsibériens en Chine, en Mogolie, en Russie qui font l’objet de l’exposition présentée au magasin électrique et de l’ouvrage qui l’accompagne pour lequel Klavdij Sluban est lauréat du prix 2009 de l’European Publishers Award for Photography. C’est en train qu’il s’est déplacé dans ce « Far Est » en quête d’êtres vivants, animaux en fuite ou humains emmitonnés dans une immensité oppressante et un silence infini extraordinairement perceptibles dans ses œuvres.« C’est de cette zone de haine consommée que vient Klavdij Sluban, Leica en bandoulière, pellicule blanc et noir, pour raconter les Est à qui sait tout juste qu’il en existe un. (...) Le point de vue du photographe brouille les cartes : de là vient l’ombre. La neige aussi est sombre, la lumière un blanc délavé, en exil sur la surface. » (...)« Le Photographe utilise rarement une vitesse d’exposition rapide. (...) Il laisse plus souvent un temps de pause plus long sur le diaphragme fermé, pour que le silence imprègne la pellicule. L’immobile a besoin de plus de temps pour affleurer. L’immobile est l’état de grâce du moment messianique, non pas l’exaltation d’un avant, mais une fin de course. »Erri De Luca
Exposition proposée par l’association du Méjan et produite par la galerie Taïss et la galerie de l’Hôtel de Sauroy, à Paris.
Exposition présentée au Magasin Électrique, Parc des Ateliers.