Édition 2013

Wolfgang Tillmans

NEUE WELT

Depuis vingt ans, Wolfgang Tillmans ne cesse d’interroger et d’étendre les possibilités de la photographie par tous les moyens à travers ses œuvres photographiques et filmées. Son exposition Monde nouveau présente des photographies extraites de la nouvelle série éponyme, créée au cours de nombreux voyages.
Vingt ans après que Tillmans a commencé à nous livrer sa vision du monde, il se demande si le monde peut être regardé avec un œil « neuf » à une époque saturée d’images médiatiques, et s’il est possible de dégager une vue d’ensemble. Tillmans traque le « nouveau » non seulement en termes de changement politique et économique, mais aussi à travers la relation à l’évolution numérique de la photographie, désormais capable de représenter des détails avec un degré de précision sans commune mesure avec l’œil et la vision humaine. Équipé d’un appareil numérique, Tillmans a fait le tour du monde, ne faisant que de brèves haltes – juste assez longues pour se concentrer sur la surface visible de la situation dans un endroit donné. On retrouve donc à maintes reprises dans ses photographies des toits, des revêtements extérieurs, des façades, ainsi que des thèmes issus de la technologie et de la science (plantes, animaux, minéraux, sédiments, moyens de transport et centres commerciaux). Ces tirages sont associés aux grandes œuvres encadrées de la série Silver, que Tillmans poursuit depuis 1998. Le nom Silver (« gris métallisé ») dérive des traces de saleté et de sel d’argent qui restent sur le papier lorsque l’artiste développe les photographies dans une machine qui n’est pas entièrement propre. L’apparence visuelle des dépôts sur le papier photographique découle d’un accident produit par la technologie photo- graphique, qui révèle le processus de formation et la matérialité de la photographie.
Soutien des Rencontres d’Arles depuis plus d’une décennie, la fondation LUMA a contribué à fonder et à élargir sa renommée internationale. Pour cette édition des Rencontres d’Arles, LUMA est heureuse de réitérer son soutien à travers la coproduction de l’exposition Monde nouveau de Wolfgang Tillmans, à la Grande halle des Ateliers. Cela fait plus de dix ans qu’une monographie d’une telle ampleur sur l’œuvre de Tillmans n’a pas été présentée en France. Sa production à Arles, en lien étroit avec les Rencontres, est un signe fort donné par la fondation quant au futur projet de parc des Ateliers développé avec Frank Gehry.
Depuis vingt ans, Wolfgang Tillmans ne cesse d’interroger et d’étendre les possibilités de la photographie par tous les moyens à travers ses œuvres photographiques et filmées. Son exposition Monde nouveau présente des photographies extraites de la nouvelle série éponyme, créée au cours de nombreux voyages.Vingt ans après que Tillmans a commencé à nous livrer sa vision du monde, il se demande si le monde peut être regardé avec un œil « neuf » à une époque saturée d’images médiatiques, et s’il est possible de dégager une vue d’ensemble. Tillmans traque le « nouveau » non seulement en termes de changement politique et économique, mais aussi à travers la relation à l’évolution numérique de la photographie, désormais capable de représenter des détails avec un degré de précision sans commune mesure avec l’œil et la vision humaine. Équipé d’un appareil numérique, Tillmans a fait le tour du monde, ne faisant que de brèves haltes – juste assez longues pour se concentrer sur la surface visible de la situation dans un endroit donné. On retrouve donc à maintes reprises dans ses photographies des toits, des revêtements extérieurs, des façades, ainsi que des thèmes issus de la technologie et de la science (plantes, animaux, minéraux, sédiments, moyens de transport et centres commerciaux). Ces tirages sont associés aux grandes œuvres encadrées de la série Silver, que Tillmans poursuit depuis 1998. Le nom Silver (« gris métallisé ») dérive des traces de saleté et de sel d’argent qui restent sur le papier lorsque l’artiste développe les photographies dans une machine qui n’est pas entièrement propre. L’apparence visuelle des dépôts sur le papier photographique découle d’un accident produit par la technologie photographique, qui révèle le processus de formation et la matérialité de la photographie.Soutien des Rencontres d’Arles depuis plus d’une décennie, la fondation LUMA a contribué à fonder et à élargir sa renommée internationale. Pour cette édition des Rencontres d’Arles, LUMA est heureuse de réitérer son soutien à travers la coproduction de l’exposition Monde nouveau de Wolfgang Tillmans, à la Grande halle des Ateliers. Cela fait plus de dix ans qu’une monographie d’une telle ampleur sur l’œuvre de Tillmans n’a pas été présentée en France. Sa production à Arles, en lien étroit avec les Rencontres, est un signe fort donné par la fondation quant au futur projet de parc des Ateliers développé avec Frank Gehry.

Une exposition de la Kunsthalle Zürich, organisée par Beatrix Ruf et coproduite par la fondation LUMA et les Rencontres d’Arles pour la présente édition.
Exposition présentée à l’Atelier de la Chaudronnerie, parc des Ateliers.
Une exposition de la Kunsthalle Zürich, organisée par Beatrix Ruf et coproduite par la fondation LUMA et les Rencontres d’Arles pour la présente édition.
Exposition présentée à l’Atelier de la Chaudronnerie, parc des Ateliers.

  • Partenaires institutionnels

    • République Française
    • Région Provence Alpes Côté d'Azur
    • Département des Bouches du Rhône
    • Arles
    • Le Centre des monuments nationaux est heureux de soutenir les Rencontres de la Photographie d’Arles en accueillant des expositions dans l’abbaye de Montmajour
  • Grands partenaires

    • Fondation LUMA
    • BMW
    • SNCF
    • Kering
  • Partenaires médias

    • Arte
    • Lci
    • Konbini
    • Le Point
    • Madame Figaro
    • France Culture