JULIEN GESTER
WORLD CUT
Tandis que des milliards d’yeux suivaient la course du ballon, la vie en Russie suivait son cours :
de Krasnodar à Kazan, cinq semaines d’errance à dépayser, déglacer ses clichés russes au gré des coulisses caniculaires d’une Coupe du monde, hors champ, hors saison, hors du temps.
de Krasnodar à Kazan, cinq semaines d’errance à dépayser, déglacer ses clichés russes au gré des coulisses caniculaires d’une Coupe du monde, hors champ, hors saison, hors du temps.
Sur une proposition de Laurent Perreau.