Édition 2010
Exposition présentée par le Méjan
Patrick Bouchain
L'Impensé
Cette exposition est présentée à l’occasion des dix ans de la collection l’Impensé, des éditions Actes-Sud. Dirigée par Patrick Bouchain, cette série, au carrefour entre le citoyen, l’élu, l’architecte et le chantier, propose une autre façon de penser l’architecture et le paysage. Conçue comme une immense installation, l’exposition occupe aux ateliers SNCF, toute une halle du magasin électrique (plus de 600m2). Elle s’emploie à partir de réalisations de Patrick Bouchain à montrer, à rendre perceptible l’architecture et elle s’articule autour du travail de cinq photographes : Marin Kasimir, Cyrille Weiner, Christophe Hutin, Loïc Julienne, Julie Guiches.
Leurs photographies, posées au sol, suspendues, projetées ou encore tirées grandeur nature sur des châssis de décors de théâtre ou tendues sur d’immenses bâches balisent un cheminement qui n’a rien de rectiligne. Cette exposition, se prolonge à l’extérieur sous l’auvent aménagé comme un vaste salon de plein air aux banquettes en paille, où des plantes indigènes, dites « mauvaises herbes », voisinent avec des plantes maraîchères sous des bâches de chantier aux couleurs franches en guise de tentures.
Exposition présentée au Magasin Électrique, Parc des Ateliers.
Cette exposition est présentée à l’occasion des dix ans de la collection l’Impensé, des éditions Actes-Sud. Dirigée par Patrick Bouchain, cette série, au carrefour entre le citoyen, l’élu, l’architecte et le chantier, propose une autre façon de penser l’architecture et le paysage. Conçue comme une immense installation, l’exposition occupe aux ateliers SNCF, toute une halle du magasin électrique (plus de 600m2). Elle s’emploie à partir de réalisations de Patrick Bouchain à montrer, à rendre perceptible l’architecture et elle s’articule autour du travail de cinq photographes : Marin Kasimir, Cyrille Weiner, Christophe Hutin, Loïc Julienne, Julie Guiches. Leurs photographies, posées au sol, suspendues, projetées ou encore tirées grandeur nature sur des châssis de décors de théâtre ou tendues sur d’immenses bâches balisent un cheminement qui n’a rien de rectiligne. Cette exposition, se prolonge à l’extérieur sous l’auvent aménagé comme un vaste salon de plein air aux banquettes en paille, où des plantes indigènes, dites « mauvaises herbes », voisinent avec des plantes maraîchères sous des bâches de chantier aux couleurs franches en guise de tentures.Exposition présentée au Magasin Électrique, Parc des Ateliers.