Édition 2010
Exposition présentée par le Méjan
François Halard
Visites privées
De même que de nombreux écrivains disent avoir appris à mieux lire en commençant à écrire, François Halard a sans doute fait ses gammes de regardeur en découvrant la photographie. La précocité du goût de FH pour certains objets, pour certaines œuvres d’art et aussi pour les maisons, amorce un mouvement qui le conduira aux quatre coins du monde. Des palais palladiens aux lofts new-yorkais, des maisons hantées de Tanger à l’antre des artistes. Une quête ininterrompue que n’explique pas le seul désir de pousser des portes, ni la curiosité d’esthète. Il y a dans les photo- graphies de François Halard une interrogation permanente, quelque chose de l’enfant, qui visitant un château, regarde moins le baldaquin du lit, juste à côté, que la petite porte dissimulée dans les tentures. Vincent Huguet
Les photographies de François Halard soulignent le dialogue qu’il orchestre depuis quelques années, entre les artistes, leurs œuvres et leurs cadres de vie. Il photographie en noir et blanc, parfois en couleur l’univers de Cy Twombly, James Brown, Julian Schnabel, Robert Rauschenberg ou Miguel Barceló.
Fasciné par ces maisons d’artistes, il les dévoile. Elles seront pour lui source d’inspiration.
Dans cette exposition, François Halard associe par la scénographie des photographies, des objets et des œuvres d’art, sorte d’Atelier Idéal.
Exposition présentée au Capitole.
De même que de nombreux écrivains disent avoir appris à mieux lire en commençant à écrire, François Halard a sans doute fait ses gammes de regardeur en découvrant la photographie. La précocité du goût de FH pour certains objets, pour certaines œuvres d’art et aussi pour les maisons, amorce un mouvement qui le conduira aux quatre coins du monde. Des palais palladiens aux lofts new-yorkais, des maisons hantées de Tanger à l’antre des artistes. Une quête ininterrompue que n’explique pas le seul désir de pousser des portes, ni la curiosité d’esthète. Il y a dans les photographies de François Halard une interrogation permanente, quelque chose de l’enfant, qui visitant un château, regarde moins le baldaquin du lit, juste à côté, que la petite porte dissimulée dans les tentures. Vincent Huguet
Les photographies de François Halard soulignent le dialogue qu’il orchestre depuis quelques années, entre les artistes, leurs œuvres et leurs cadres de vie. Il photographie en noir et blanc, parfois en couleur l’univers de Cy Twombly, James Brown, Julian Schnabel, Robert Rauschenberg ou Miguel Barceló.Fasciné par ces maisons d’artistes, il les dévoile. Elles seront pour lui source d’inspiration. Dans cette exposition, François Halard associe par la scénographie des photographies, des objets et des œuvres d’art, sorte d’Atelier Idéal.
Exposition présentée au Capitole.