Édition 2014
Exposition présentée par le Méjan
Eduardo Arroyo et Maurice Matieu
Mano a Mano
Nous accueillerons à la chapelle Saint-Laurent – Le Capitole un Mano a mano singulier, terme de tauromachie désignant une corrida durant laquelle deux matadors combattent chacun trois taureaux dans une même arène. Mano a mano semble parfaitement décrire cette rencontre artistique où se confrontent deux démarches distinctes qui se rejoignent dans le rôle que Maurice Matieu et Eduardo Arroyo assignent à la peinture. Leur cheminement les rapproche : l’un s’est éloigné des mathématiques, l’autre du journalisme. Tous deux ont choisi l’espace du tableau. Si Eduardo Arroyo est un adepte du genre – il s’est déjà livré à l’exercice en se confrontant à des hommes tels qu’Hervé Télémaque, Bruno Bruni ou Luis Gordillo –, Maurice Matieu est moins habitué à ce type de joute. Bien qu’amis de longue date, c’est la première fois qu’ils exposent ensem- ble, nous donnant par là l’occasion d’admirer deux styles très différents. En effet, si Matieu privilégie le crayon, Arroyo affectionne le collage. On retrouve toutefois des points communs entre ces deux contemporains, notamment une place importante laissée à la figure humaine.
Nous accueillerons à la chapelle Saint-Laurent – Le Capitole un Mano a mano singulier, terme de tauromachie désignant une corrida durant laquelle deux matadors combattent chacun trois taureaux dans une même arène. Mano a mano semble parfaitement décrire cette rencontre artistique où se confrontent deux démarches distinctes qui se rejoignent dans le rôle que Maurice Matieu et Eduardo Arroyo assignent à la peinture. Leur cheminement les rapproche : l’un s’est éloigné des mathématiques, l’autre du journalisme. Tous deux ont choisi l’espace du tableau. Si Eduardo Arroyo est un adepte du genre – il s’est déjà livré à l’exercice en se confrontant à des hommes tels qu’Hervé Télémaque, Bruno Bruni ou Luis Gordillo –, Maurice Matieu est moins habitué à ce type de joute. Bien qu’amis de longue date, c’est la première fois qu’ils exposent ensem- ble, nous donnant par là l’occasion d’admirer deux styles très différents. En effet, si Matieu privilégie le crayon, Arroyo affectionne le collage. On retrouve toutefois des points communs entre ces deux contemporains, notamment une place importante laissée à la figure humaine.
Commissaire de l’exposition : Jean-Paul Capitani.
Exposition présentée à la chapelle Saint-Laurent – Le Capitole.
Commissaire de l’exposition : Jean-Paul Capitani.Exposition présentée à la chapelle Saint-Laurent – Le Capitole.