Ed Alcock (1974), Guillaume Binet (1973), Julien Daniel (1970), Agnès Dherbeys (1976), Marie Dorigny (1959), Laurence Geai (1984), Pierre Hybre (1959), Olivier Jobard (1970), Alain Keler (1945), France Keyser (1970), Oan Kim (1974), Olivier Laban-Mattei (1977), Stéphane Lagoutte (1973), Jean Larive (1969), Ulrich Lebeuf (1972), Zen Lefort (1993), Pascal Maitre (1955), Olivier Monge (1974), Julien Pebrel (1983), Chloé Sharrock (1992), Adrienne Surprenant (1992) et Michel Slomka (1986).


Le temps d'un été MYOP investit un ancien hôtel pour en faire un espace de dialogue ; les photographes y partagent une vision éthique, politique et poétique du monde. Leur manifeste ? Une injonction à voir ce qui nous entoure et une invitation à exercer nos droits.

Côté Jardin, en réponse à une carte blanche d’Amnesty International, MYOP présente une iconographie des manifestations à travers le monde. Une exposition comme une clameur collective qui rappelle que manifester est un droit qui en protège d’autres.

Côté Printemps – en écho à l’énergie de la foule – les photographes vous emmènent dans l’intimité de rencontres ; pour mettre en lumière des personnalités qui incarnent un combat, des citoyen·ne·s ordinaires qui font bouger les lignes, des anonymes qui subissent l’injustice du monde et nous poussent à agir.

Aux deux faces de cette exposition se trouvent un même souffle, celui de l’engagement, et un même fil rouge, le courage du changement.