Édition 2023
FISHEYE IMMERSIVE
HABEAS CORPUS
Inès Alpha (1985), Romain Gauthier (1993), Sam Madhu (1994) et Kami (2022).
« Le corps n’est pas une chose, c’est une situation. C’est notre emprise sur le monde, l’esquisse de nos projets », écrivait Simone de Beauvoir en 1949. Aujourd’hui, nos corps sont physiques, et nos avatars se dessinent en 3D. Nous avons un genre et une enveloppe, de plus en plus malléables : le corps se déconstruit, se décolonise, il est racisé, fluide… Nos identités sont instables, et c’est là que se trouve leur richesse. Ces enjeux deviennent de plus en plus importants avec l’arrivée des technologies de motion capture, 3D temps réel, vidéogrammétrie, body scan…
Habeas Corpus, exposition rendue possible grâce à l'accompagnement de L'Oréal, invite à appréhender de nouveaux modes de rapport à l’autre, à la technologie, au beau et à l’information et propose d’explorer les différentes facettes de la beauté du futur, leur ancrage dans le digital, et leur présence dans le réel. Présentant des œuvres inédites d’Inès Alpha, Romain Gauthier, Sam Madhu et Kami, l’exposition nous interroge sur nos systèmes de valeurs, et de représentation, et donne à voir l’espace entre désir et rejet de corps physiques, sociaux, politiques..
« Le corps n’est pas une chose, c’est une situation. C’est notre emprise sur le monde, l’esquisse de nos projets », écrivait Simone de Beauvoir en 1949. Aujourd’hui, nos corps sont physiques, et nos avatars se dessinent en 3D. Nous avons un genre et une enveloppe, de plus en plus malléables : le corps se déconstruit, se décolonise, il est racisé, fluide… Nos identités sont instables, et c’est là que se trouve leur richesse. Ces enjeux deviennent de plus en plus importants avec l’arrivée des technologies de motion capture, 3D temps réel, vidéogrammétrie, body scan…
Habeas Corpus, exposition rendue possible grâce à l'accompagnement de L'Oréal, invite à appréhender de nouveaux modes de rapport à l’autre, à la technologie, au beau et à l’information et propose d’explorer les différentes facettes de la beauté du futur, leur ancrage dans le digital, et leur présence dans le réel. Présentant des œuvres inédites d’Inès Alpha, Romain Gauthier, Sam Madhu et Kami, l’exposition nous interroge sur nos systèmes de valeurs, et de représentation, et donne à voir l’espace entre désir et rejet de corps physiques, sociaux, politiques..
Commissaires : Benoit Baume et Valentin Ducros.