Hugo Vitrani a infiltré le Palais de Tokyo en déployant de manière invisible le Lasco Project pour repenser l’exposition à travers la rumeur et la frustration. Ses recherches se concentrent sur les mauvaises herbes de l’histoire de l’art, en particulier celles issues des écritures qui prennent racines dans les marges des territoires, des lois et des institutions. Il a notamment signé les monographies de Mohamed Bourouissa (2024), Jay Ramier (2021), Florian et Michael Quistrebert (2016) ainsi que les expositions La Morsure des termites (2023-2024) et Prince×ss×es des villes (2019). Il est co-commissaire de l’édition 2019 de la Biennale de Lyon et a récemment rendu hommage à Virgil Abloh à la Galerie kreo (2023).