Éditions 2016, 2021
SÉBASTIEN LIFSHITZ
Né en 1968 à Paris, France.
Vit et travaille à Paris.
Vit et travaille à Paris.
Après des études d’histoire de l’Art à l’École du Louvre, Sébastien Lifshitz se tourne vers le cinéma et réalise en 2000 son premier long-métrage, Presque Rien. Suivront le documentaire La Traversée (2001) sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs, puis Wild Side (2004) et Bambi (2016) tous deux primés au festival de Berlin. Après Les Invisibles (2012) en sélection officielle au festival de Cannes et Les Vies de Thérèse (2017) à la Quinzaine des Réalisateurs, il réalise deux documentaires : Adolescentes, primé au Festival de Locarno, Prix Louis-Delluc du Meilleur Film et heureux lauréat de 3 César en 2021 puis Petite Fille, présenté au Festival de Berlin 2020. Sébastien Lifshitz a également été commissaire des expositions Mauvais Genre (2016) aux Rencontres d’Arles et de L’Inventaire Infini (2019) au Centre Pompidou.
Dans la même séquence
Ressources
Événements
8 juillet
Sébastien Lifshitz
Signatures
18h-19h signature du livre Mauvais Genre.
19h30-20h30 projection du documentaire Les Vies de Thérèse.
19h30-20h30 projection du documentaire Les Vies de Thérèse.
8 juillet
Mauvais Genre
Visite d'exposition
Par Sébastien Lifshitz, commissaire.
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Les Forges
5 juillet
SÉBASTIEN LIFSHITZ
GARÇONS SENSIBLES
Visite d'exposition
Par Sébastien Lifshitz, réalisateur.
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La Mécanique générale
4 juillet
PORTRAITS DE FAMILLE, PHOTOS DE GENRE (PÉPITES, LOUIE MEDIA)
Table ronde
Modérée par Sébastien Thème, co-présentateur de Pépites, avec Sébastien Lifshitz, réalisateur, Isabelle Bonnet et Sophie Hackett, commissaires de l’exposition Casa Susanna et Rebecca Amsellem, fondatrice du média Les Glorieuses.
Quelles traces laisse-t-on de son intimité et que montre-t-on de soi, de sa famille, aux regards extérieurs ? Aux pieds des Catskills, dans la campagne américaine des années 50 et 60, la Casa Susanna est un lieu de destination de week-ends new-yorkais. Comme n’importe quelle famille en villégiature, ils viennent jouer aux cartes et se baigner pour se détendre. Mais dans ce refuge de la transidentité, ils sont habillés en femmes au foyer. Marginaux à l’abri des regards, ils se photographient pourtant. En 2004, des photos réapparaissent sur un marché aux puces de New York. « Des femmes ordinaires, comme on en voit dans tous les albums de photographies familiales », décrit Isabelle Bonnet dans son article Les Photographies retrouvées de la Casa Susanna. Cette table ronde interrogera le genre de la photo de famille à travers l'histoire de la Casa Susanna…
Quelles traces laisse-t-on de son intimité et que montre-t-on de soi, de sa famille, aux regards extérieurs ? Aux pieds des Catskills, dans la campagne américaine des années 50 et 60, la Casa Susanna est un lieu de destination de week-ends new-yorkais. Comme n’importe quelle famille en villégiature, ils viennent jouer aux cartes et se baigner pour se détendre. Mais dans ce refuge de la transidentité, ils sont habillés en femmes au foyer. Marginaux à l’abri des regards, ils se photographient pourtant. En 2004, des photos réapparaissent sur un marché aux puces de New York. « Des femmes ordinaires, comme on en voit dans tous les albums de photographies familiales », décrit Isabelle Bonnet dans son article Les Photographies retrouvées de la Casa Susanna. Cette table ronde interrogera le genre de la photo de famille à travers l'histoire de la Casa Susanna…
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