Éditions 2006, 2007
Julien CHAPSAL
Né en 1977 à Paris, où il vit.
Il obtient en 1998 une Maîtrise de lettres modernes et en 2001 un DEA d’anthropologie visuelle, découvrant parallèlement la photographie dans les livres, puis à l’occasion de stages (VU, Magnum, Galeries FNAC, Fondation HSBC), avant de travailler comme chargé de projets pour Tendance Floue, puis Magnum.
Il se consacre depuis 2001 à des projets photographiques personnels, en questionnant chaque fois différentes pratiques et différentes formes, dans la perspective de l’exposition et/ou l’édition.
« Presque rien mais assez », réalisé en 2001 autour des jeunes de la rue de Jogjakarta, en Indonésie, est exposé et édité en 2004 par l’UNESCO, à Paris. « Harkis à vie ? », réalisé en 2003-2005, fait l’objet d’une première installation au Camp Joffre, à Rivesaltes, dans le cadre des Journées du Patrimoine 2005, puis d’un livre chez Filigranes Editions, en 2006.
Cette même année, Julien Chapsal achève « Entre-deux », une série plus intimiste réalisée au Maroc, avant d’entamer deux nouveaux projets : l’un questionne l’histoire du Camp Joffre, à partir d’images d’archives, l’autre la représentation de l’ailleurs chez les migrants clandestins.
Julien Chapsal a exposé aux Rencontres d'Arles en 2006: "Harkis à vie ?" et en 2010 dans une exposition collective: "France 14"
Il obtient en 1998 une Maîtrise de lettres modernes et en 2001 un DEA d’anthropologie visuelle, découvrant parallèlement la photographie dans les livres, puis à l’occasion de stages (VU, Magnum, Galeries FNAC, Fondation HSBC), avant de travailler comme chargé de projets pour Tendance Floue, puis Magnum.
Il se consacre depuis 2001 à des projets photographiques personnels, en questionnant chaque fois différentes pratiques et différentes formes, dans la perspective de l’exposition et/ou l’édition.
« Presque rien mais assez », réalisé en 2001 autour des jeunes de la rue de Jogjakarta, en Indonésie, est exposé et édité en 2004 par l’UNESCO, à Paris. « Harkis à vie ? », réalisé en 2003-2005, fait l’objet d’une première installation au Camp Joffre, à Rivesaltes, dans le cadre des Journées du Patrimoine 2005, puis d’un livre chez Filigranes Editions, en 2006.
Cette même année, Julien Chapsal achève « Entre-deux », une série plus intimiste réalisée au Maroc, avant d’entamer deux nouveaux projets : l’un questionne l’histoire du Camp Joffre, à partir d’images d’archives, l’autre la représentation de l’ailleurs chez les migrants clandestins.
Julien Chapsal a exposé aux Rencontres d'Arles en 2006: "Harkis à vie ?" et en 2010 dans une exposition collective: "France 14"